Cette journée fût fantastique.
On avait RDV à 8h à « Locajet » à Nouméa. On était un groupe de 24 personnes, à raison de 2 par jet.
Petit briefing accompagné d’un café. Ils ont prêté combi et lunettes à ceux qui n’en avaient pas… j’en faisais parti. On a décollé vers 9h de Nouméa.
Nous sommes parti en 2 groupes guidé par un mono par groupe. Des monos de jet ski mignons tout plein comme on les imagine (Un blond et un brun)… si vous voyez ce que je veux dire… n’est-ce pas les filles ?!
Tous va bien, on fille direction l’îlot maître, un îlot où il n’y a que des cabanes sur pilotis, très joli. Vu que les jets ski ne sont pas autorisés à se poser sur cette îlot, nous l’avons regardé de loin, mais suffisamment prêt pour en apprécier les rivages. Puis nous continuons vers le milieu du littorale pour accéder à des fonds marins superbes… mais en chemin, Dan, qui conduisait à 70 km/h, a pris une vague sur le côté gauche du jet (sachant qu’un jet va au maxi à 80 km/h) et nous voilà dans l’eau ! En fait, Dan voulais redresser le jet ski mais ne pouvait pas, alors, moi qui était accroché à lui comme un koala, j’ai sauté et je l’ai emmené avec moi pour éviter que je jet ne se retourne sur nous. Je vous laisse imaginer le vol plané qu’on a fait… ça secoue ! Le mono nous rejoint. Rien de cassé… j’ai juste perdu les lunettes. On remonte sur le jet… direction les fonds marins. Sur site plusieurs d’entre nous ont plongé avec masque et tuba, dont Dan qui c’est régalé à prendre des photos avec l’appareil jetable étanche qu’on avait acheté la veille. Puis on est reparti en file indienne pour longer la barrière de corail… et arriver au phare Amédée. C’était magnifique !
Arrivé au phare vers 11h. Une plage de sable et blanc chaud, avec parasols en paille et plein de tables dressées sous une immense paillote. Il y avait plein de gens qui eux était venu en bateau croisière ou en voiliers ; mais l’îlot est suffisamment grand pour tout le monde.
Première action, on quitte les combis et on se jet à l’eau… TROP BON !
Midi, on se met à table. Alors tenez vous bien : cocktails à volonté, vin rouge français en prime, buffet à volonté, avec crevettes, salade de poisson froid, dessert local, etc.… Et pendant tout le repas il y avait des danseuses tahitiennes et des musiciens qui nous ont offert un très beaux spectacle sur des airs de youkoulélé… et ils invitaient des touristes à participer. Avec Dan, on c’est regardé et on espérait tout deux ne pas être choisit… Ouf… nous ne fûmes pas choisit. À la fin du repas, on se décida à visiter le phare mais, à ce moment, un photographe est venu vers moi pour me demander de servir de modèle pour qu’une des tahitienne fasse une démonstration pour expliquer les différentes techniques pour mettre un paréo. J’ai dis oké en me disant que tant que je n’aurais pas à danser, il n’y avait pas de problème. Pas de bol : à la fin du mini défilé, il a fallu danser… Aïe… Heureusement ce fût très simple et très court ; Mais très sympa, en même temps !
Donc, nous revoilà parti pour monter les je n’sais plus combien de marches du phare. Et là, un panorama superbe, magnifique, idyllique… bref, je ne trouve pas le mot juste. On s’en ai tout simplement pris plein la vu !
On redescend pour repiquer une tête avant de préparer notre retour.
Donc, petit briefing de nouveau. Le mono explique que c’est nous (tous les jets skieurs) qui donnons l’allure ! Et voilà mon Dan parti au taquet… on était les seules à suivre le mono ; tout les autres voulais rentrer « tranquille ». Je n’arrêtais pas de dire à Dan de ralentir car la mer était plus agitée qu’à l’aller, et ce n’était pas une course. Et Dan me répondait : « mais non, on ne va pas vite, tout va bien »… genre, fais pas ta chochotte ! En attendant, tout les autres étaient loin derrière. En plus, quand t’es derrière le conducteur, tu t’en prends plein la gueule (de la flotte, je n’avais plus de lunette) et tu secoue dans tout les sens… On a failli benner une dizaine de fois ! Je vous laisse imaginez comment je rêvais de le piler sur place ; et j’avais hâte de mettre un pied à terre. La prochaine fois, je montrais derrière un moins nerveux ! Même le mono lui a demandé s’il était pressé de rentrer ! Car il n’était jamais rentré aussi vite avec des touristes !
Bref nous sommes arrivés entier… et nous avons passé une très bonne journée…
Aujourd'hui courbatures de folie
On marche comme Marat... tout raide...
Un des îlots que nous avons croisé en jet
Les danseuses tahïtiennes
Un danseur de feu
Les danseuses avec un touriste
La plage du phare Amédée
Petite danse après le défilé
Le phare
La plage vu du haut du phare
Nous
L'intérieur du phare
Dan...
... Et moi...